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Kim-Bo-Bae Illustre illustrateur Date d'inscription : 11/11/2011 Age : 27
| Sujet: [Kim & Camelya ] Passion Sam 30 Juin 2012, 09:36 | |
| Alors voila j'aimerai faire une battle littéraire A vrai dire j'ai juste eut le mot passion dans la tête et je me suis dit que ca serai un bon thème, même si je n'ai aucune idée de ce que je vais faire L'annonce est lancée ! _ s'il vous plait futur arbitre pas de contraite trop difficile _
Dernière édition par Kim-Bo-Bae le Sam 30 Juin 2012, 15:00, édité 1 fois |
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Camelya Grand artiste du pinceau Date d'inscription : 06/05/2011 Age : 32 Localisation : Dans mon lit.
| Sujet: Re: [Kim & Camelya ] Passion Sam 30 Juin 2012, 14:41 | |
| Moi je veux bien être ton adversaire |
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Kim-Bo-Bae Illustre illustrateur Date d'inscription : 11/11/2011 Age : 27
| Sujet: Re: [Kim & Camelya ] Passion Sam 30 Juin 2012, 14:42 | |
| Ca me va on a plus qu'a attendre un _gentil_ arbitre |
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Ninichou Peintre prestigieux Date d'inscription : 26/05/2011 Localisation : Bordeaux.
| Sujet: Re: [Kim & Camelya ] Passion Dim 01 Juil 2012, 17:27 | |
| Je veux bien être votre arbitre Thème : Passion Contrainte : La scène se déroule au Moyen Age. Nombre de mots : 1200 mots (avec la règle des +/- 10%) Date limite : 16 juillet Bon courage à vous deux ^^ |
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Kim-Bo-Bae Illustre illustrateur Date d'inscription : 11/11/2011 Age : 27
| Sujet: Re: [Kim & Camelya ] Passion Mar 03 Juil 2012, 17:22 | |
| Merci Nini |
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Camelya Grand artiste du pinceau Date d'inscription : 06/05/2011 Age : 32 Localisation : Dans mon lit.
| Sujet: Re: [Kim & Camelya ] Passion Jeu 05 Juil 2012, 15:28 | |
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Ninichou Peintre prestigieux Date d'inscription : 26/05/2011 Localisation : Bordeaux.
| Sujet: Re: [Kim & Camelya ] Passion Lun 09 Juil 2012, 18:21 | |
| Vous vous en sortez ? (Il vous reste une semaine ) |
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Camelya Grand artiste du pinceau Date d'inscription : 06/05/2011 Age : 32 Localisation : Dans mon lit.
| Sujet: Re: [Kim & Camelya ] Passion Mar 10 Juil 2012, 16:19 | |
| Oh oui ^^ J'ai la trame et la moitié de rédigée : ce sera posté ce week end ne vous en faites pas |
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Kim-Bo-Bae Illustre illustrateur Date d'inscription : 11/11/2011 Age : 27
| Sujet: Re: [Kim & Camelya ] Passion Sam 14 Juil 2012, 21:45 | |
| Est ce que ca serai possible d'avoir 1 ou 2 jours supplémentaire ? Parce que honetement je suis débordée, en vacanses mais débordée |
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Ninichou Peintre prestigieux Date d'inscription : 26/05/2011 Localisation : Bordeaux.
| Sujet: Re: [Kim & Camelya ] Passion Dim 15 Juil 2012, 12:09 | |
| Etant donné que Cam n'a pas rendu son texte non plus, je ne pense pas que ce soit génant. Donc, la date limite serait au 18 juillet au soir, ça vous convient à toutes les deux ? |
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Camelya Grand artiste du pinceau Date d'inscription : 06/05/2011 Age : 32 Localisation : Dans mon lit.
| Sujet: Re: [Kim & Camelya ] Passion Dim 15 Juil 2012, 12:25 | |
| Pas de soucis pour moi, ça me laissera le temps de bien relire pour une fois ^^ |
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Kim-Bo-Bae Illustre illustrateur Date d'inscription : 11/11/2011 Age : 27
| Sujet: Re: [Kim & Camelya ] Passion Dim 15 Juil 2012, 14:00 | |
| Merci beaucoup vous deux ! |
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Ninichou Peintre prestigieux Date d'inscription : 26/05/2011 Localisation : Bordeaux.
| Sujet: Re: [Kim & Camelya ] Passion Mer 18 Juil 2012, 12:22 | |
| Pour rappel, vous avez jusqu'à ce soir pour poster vos textes |
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Camelya Grand artiste du pinceau Date d'inscription : 06/05/2011 Age : 32 Localisation : Dans mon lit.
| Sujet: Re: [Kim & Camelya ] Passion Mer 18 Juil 2012, 16:28 | |
| Et voilà ma participation ! Bon je ne suis pas totalement satisfaite mais on verra bien - Spoiler:
Les enfants n'osaient pas l'approcher. Vieille-femme-la-mort, comme on l'appelait était davantage une ombre qu'une personne. Enveloppée d'une immense cape noire toute rapiécée, la tête baissée et recouverte d'un capuchon, toujours assise à la sortie du village.
Elle effrayait les enfants, faisait fuir les parents et n'attirait que les corbeaux. Cependant, chacun leur tour, les habitants des environs lui apportaient - ou lui jetaient - un peu de nourriture.
Cette fois, c'était au tour de la famille Lefebvre : une femme seule, Françoise et ses cinq enfants.
Le mari était mort en crachant du sang et sa veuve ne tarderait pas à le suivre dans la tombe.
Les garçons travaillaient déjà aux champs et la petite dernière, Anne, était engagée au service de la fille du seigneur. Sa mère ne pouvant assurer sa besogne, Anne tenait la maison comme une parfaite petite épouse. Ainsi, elle prit le reste de pain - durement économisé par chacun - et pris le chemin boueux amenant à la sortie nord. Terrifiée et intriguée elle s'approcha de vieille-femme-la-mort, la salua et lui tendit le pain tant attendu. L'ombre, touchée par tant d'innocence et de douceur, pris le pain et fit signe à l'enfant de savoir en face d'elle. Prudemment, Anne obéit et pris place sur un rocher. Elle put enfin commencer à parler et Anna écouta religieusement dans la crainte et la curiosité.
« Je m'appelle Louisa. Je m'appelle Louisa et il me faut conter mon histoire. Les hommes se battent avec des épées et des haches. Ils se protègent avec des boucliers et d'immenses châteaux.
La guerre est leur affaire, les femmes sont faites pour aimer. Voilà leur plus grossière erreur : croire que le tranchant d'une épée est ce qui blesse le plus. Détrompe-toi mon enfant, l'amour est une arme plus redoutable que toutes les épées du monde et il a un pouvoir protecteur plus puissant que toutes ces belles forteresses. Autrefois, j'ai connu un homme. Mon père était le seigneur de Montmorency et il espérait pour sa fille aînée un beau mariage, lucratif de préférence, avec le fils d'un seigneur voisin. Peu lui importait que le promis soit repoussant et qu'il puisse prétendre au titre d'idiot du village : elle devait être bien placée dans la société et le titre de marquis du jeune homme rendait ses yeux brillants d'envie. Je ne l'entendais pas de cette façon, je me sentais prisonnière de ma condition de femme, je ne rêvais que de gloire sur un champ de bataille, de festin en mon honneur et de joutes viriles. A la place de quoi, j'allais devoir attendre un mari parti guerroyer six mois sur douze, organiser ses réceptions et agiter un petit mouchoir pour l'encourager : de quoi éteindre toute flamme, tout désir de vivre, tu ne crois pas ? Dès l'annonce des fiançailles, je cherchai un moyen de m'échapper, par l'esprit, si ce n'est pas le corps : je trouvai refuge dans la bibliothèque de mon père. Là, les écrits d'illustres Grecs et Romains me rappelèrent qu'ici bas l'homme dirige le monde.
Longtemps je demeurai malheureuse, emmurée dans mon silence autant que dans le château de mon père. J'avais perdu le goût de toute chose et errais comme une âme en peine dans le corridor et le long des murailles, le regard perdu au long, scrutant un horizon monotone.
La fille de ma nourrice, ma seule véritable amie, s'inquiétant de me voir dépérir lentement, m'obligeait à sortir et tentait de me distraire par tous les stratagèmes possibles.
Mais seule une nouvelle arrivée me réveilla de ma torpeur : un nouveau forgeron s'installa en ville, il était très renommé et mon père avait dû mettre de nombreux mois pour le convaincre de travailler pour lui. Afin de le remercier, il exigea de moi que j'aille lui souhaiter la bienvenue au nom des seigneurs de ces terres. Inconsciente du bonheur qui m'attendait - ou bien était-ce un malheur ?Difficile de savoir, même aujourd'hui. - je me décidai à rendre visite à ce nouveau venu par un froid matin d'hiver. Il nous fallu, à mon escorte et moi-même, marcher dans plus de dix centimètres de neige : bien que l'air brulait mes poumons, j'eu enfin le sentiment de respirer pleinement. Et qu'elle ne fut pas ma surprise en voyant au côté du vieux forgeron, un jeune homme beau comme un dieu.
Ses yeux, deux perles noires me transpercèrent de part en part, sa bouche était un appel au baiser le plus divin qui soit et ses mains, ah ses mains ! Je les sentais déjà sur mon corps tremblant.
Ces pensées impures me troublèrent et je fis pénitence. Mais que peut un dieu de pêchés et de pardon contre un Apollon en chair et en os ? Je vais te le dire : rien.
En effet, au bout de quelques jours, je ne put résister à l'appel et je m'empressai de retrouver celui qui faisait battre mon coeur. Là, bien que comprimée par le poids de son corps, je respirais librement. Tu vois, comme les hommes de notre monde, moi aussi je faisais ce que je voulais.
J'avais pris l'habitude de le retrouver chaque soir, à l'orée du bois. Une fois le château endormi c'était un jeu d'enfant que de le retrouver. Et chaque soir, nous brûlâmes le feu de notre passion comme si c'était le dernier.
Te souviens-tu petite, que je t'ai dit que l'amour est une arme plus redoutable que le tranchant d'une épée ? Tu vas bientôt comprendre pourquoi.
L'objet de mes rêves les plus enflammés, celui qui soufflait sur des braises à chacun de ces coups d'oeils furtifs trouva en la fille du boulanger une fiancée parfaite. Le soir des noces, j'imaginais ses petites mains, sa peau laiteuse et ses hanches rondes dans le lit de mon bien-aimé : j'en fus malade.
J'ai exigé de mon père qu'il la fasse partir, qu'il me donne l'amour du jeune forgeron, il pris cela pour un caprice et m'envoya dans mes appartements. Je me sentais désespérée et au fil des heures je compris que si je ne voyais pas mon « caprice » satisfait, personne ne m'aurait. La solution s'imposait à moi et bien qu'elle soit terrifiante, je réalisai soudain que je n'avais plus le choix : il me fallait partir. Depuis, j'erre de ville en ville pour prévenir les jeunes filles comme toi de se méfier des caprices de leur coeur. Comprends-tu à présent que la passion n'est pas toujours une chose à encourager ? »
« Oui Madame. »
« As-tu un penchant pour l'un de tes camarades ? »
« Oui Madame. »
« Tiendras-tu compte de mon avertissement ? »
« Oh oui, oui Madame. Je dois m'en retourner chez moi, au revoir. »
Vieille-femme-la-mort soupira devant la candeur de l'enfant. Elle lui rappelait ce qu'elle avait été.
Quelques semaines plus tard, elle se leva et parti en quête de nouvelles âmes à avertir. En se retournant une dernière fois, elle aperçu Anne au bras d'un jeune homme et les yeux pétillant : « Si seulement elle savait... »
Et vieille-femme-la-mort, autrefois demoiselle Louisa de Montmorency commença sa longue marche.
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Kim-Bo-Bae Illustre illustrateur Date d'inscription : 11/11/2011 Age : 27
| Sujet: Re: [Kim & Camelya ] Passion Mer 18 Juil 2012, 23:24 | |
| J'avais finis et je viens de planter mon ordi... Je suis désolé je suis au bord de la crise de nerf la ... Si vous voulez me laissé encore une fois un peu de temps sa serai bien, si j'en demande trop tant pis, mettez moi en forfait ^^ Je suis désolé Cam >.< EDIT : J'ai tout réécrit, je suis pire qu'insatifaite - Spoiler:
Le temps s'enfuit comme de minuscules gouttelettes d'eau. Il s'efface, part, et laisse la place à de nouvelles infinités de goutte de temps. Certaines fois il va comme une cascade, d'autres fois comme un étroit ruisseau de plaine. Le temps va mais ne reviens jamais. Une fois enfuie, soit nous l'oublions soit nous le gardon. Parfois le temps est précieux. L'attente est longue. On se dit qu'on est là, sagement, à attendre, pour la bonne cause. Mais, pourrait-on, éventuellement, oublier ce temps et se laisser aller ? Puisqu'il est le seul à ne pas changer, il est seul à nous guider vers cet avenir incertain. Et cette fois l'avenir était plus qu'incertains pour le jeune Egmont. Ce matin même sa Maman était venue le réveiller dans sa petite chambre. Le soleil avait à peine pointé ses premiers rayons. Il huma alors la légère odeur de blé dans laquelle il baignait depuis son plus jeune âge. Se réveillant tranquillement il entendit alors sa petite sœur en sanglot, la pauvre Elizabeth pleurait à chaude larmes. La mère des deux enfants dit alors à son fils de commencer à manger, elle parti consoler son enfant. Il rejoint alors son père dans la misérable cuisine qu'ils avaient aménagé tant bien que mal. L'Irlande était un pays qui offrait peu de ressources. La petite Elizabeth raconta à sa mère le pourquoi de son chagrin, elle formulait à peine des phrases audible du haut de ses huit ans : - " J'ai... J'ai eu très peur maman, vraiment très peur, bégaya la jeune fille en sanglot. J'ai fait un horrible rêve... " - " Raconte ce rêve a maman ma chérie. " - "J'ai rêvé que je sortais de la maison alors que vous dormiez tous... Il faisait alors très sombre, oui vraiment très sombre maman. Je ne voyais presque rien, la seule chose dont je suis sûre. Oui très sûre maman, ne me regarde pas comme ça... Ou en était-je, oui je suis sûre qu'il y avait des loups... Oui c'est bien ça, des loups maman..."
Soudains tout le monde se retourna vers la porte d'entrée. Ils entendirent tous la même chose, un cri. Un affreux cri de bête enragée. C'était les Berserkir. Ces guerriers nordiques arboraient les plaines et faisaient de toutes les contrées qu'il atteignait des terrains de guerre. Ils détruisaient tout sur le passage avec une telle voracité, malheureusement cette faim était insatiable. Ils étaient sans cesse en train de récidiver. Le seul fait de croiser leurs regards étaient un supplice immense. Ces hommes étaient surhumains. Voilà pourquoi tous les craignais, les hommes n'ont pas peur de ceux qui sont à leurs niveau. Même s'ils sont plus grands, plus beau, plus valeureux, plus fort, ou même plus intelligent, ils restent des êtres humains. Alors, que ces combattants sont si bestiaux, qu'ils se sont rangés comme tel. Certains sont associés aux ours. Les ours ont une taille immense, une forme volumineuse et lourde, de longues griffes, des antérieurs puissants, un caractère vif et féroce, et surtout un si gros appétit que pour lui, pratiquement tout est bon à manger. D'autre encore sont des sangliers, qui sont les plus craint des peuples du Nord. Ils représentent la force et le courage. L'animal est considéré comme courageux, et se battant jusqu'au bout. Le vaincre est considéré comme un exploit, car l'homme devrait supporter les cris, les coups, et l'odeur de la bête. Et pour finir il y a les loups. Les loups sont réputé pour êtres les plus grands de tous les canidés. Leurs pointes acérées lui permettent de tuer en un rien de temps. Ce sont des carnivores acharné. Les deux qui avaient défoncé la porte étaient des loups. Leurs grandeurs avaient alors défoncé le haut de la porte. Tout deux avaient de longs cheveux sombres au reflet bleu, suintant la crasse. Leurs yeux reflétaient alors toute la haine qui les enivrait alors depuis leurs naissances. Ils étaient emplis d'une haine qui semblait infinie. Ces deux brutes semblaient ainsi descendre tout droit des enfers. Armés jusqu'aux dents, le feu à la main, ils s'appretaient à réduire cette famille en cendres.
Ils entrèrent alors dans la bicoque le premier attrapa la mère par les cheveux avant de la jeter violemment sur le mur. La mère eut à peine le temps d'ordonner à ses enfants d'aller se cacher sous le plancher, que le Breskr lui lança son flambeau dessus. Son ventre prit alors feu en premier, la femme se mit alors à convulser et à hurler. Les flammes s'étalèrent vers son visage, et à l'opposé vers ses pieds. Ses cris s'arrêtèrent alors que les flammes atteignaient peu à peu son visage, pour laisser place à un dernier gémissement. Son corps s'arrêta alors de gesticuler, et ses pupilles glissèrent lentement vers le haut pour laisser place à d’épouvantables yeux blancs. Son corps se décima alors doucement avant que toute la botte se mire à brûler réellement. Pendant ce temps le second se lança dans un combat acharné contre le père d'Egmont. Celui-ci avait réussi à attraper une épée et attaqua aveuglément sur le guerrier. Le Normand esquiva rapidement son coup, il le plaqua alors au sol en empoignant son visage avec une force surhumaine. Il enfonça alors violemment ses griffes dans le visage du père des enfants. Le guerrier poussa alors un grognement avant de sauvagement mordre dans sa nuque. Egmont et sa sœur, pris de peur, se précipitèrent vers le passage secret. Le premier guerrier qui en eut finit avec leurs mère eut le temps de rattraper Elizabeth alors qu'Egmont réussit à s'enfouir sous le plancher. Tout était presque détruit par les flammes, mais cela n'avait en rien effrayé le Bresekr qui s'apprêtait à tuer la petite fille. Il l'avait attrapé par la peau du coup, et l'étala contre un mur. Il brisa froidement sa nuque avec la même main avec laquelle il l'avait levé. Elle mourut sur le coup, mais le monstre assoiffé de sang ne se contenta pas de ça. Il trancha bestialement la tête d'Elizabeth, et dévora en deux fois chacune de ses joue, d'immenses giclées de sang frais se ruèrent sur les lattes du sol. Egmont qui était alors caché sous celles-ci reçut des éclaboussures sur le visage. Le pauvre garçon était paniqué, de toute manière il avait tout perdu. Qu'allait-il faire ? Il eut alors envie de pleurer, un amas de sanglot lui monta jusqu’aux yeux. Mais il devait se taire, seulement se taire, faire comme s'il n'avait jamais existé. Ces affreuses bêtes seront bien trop idiotes pour se souvenir de lui, espéra-t-il. La seule chose qui lui restait à faire était d'attendre.
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Ninichou Peintre prestigieux Date d'inscription : 26/05/2011 Localisation : Bordeaux.
| Sujet: Re: [Kim & Camelya ] Passion Jeu 19 Juil 2012, 10:20 | |
| Merci à vous deux pour vos textes |
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| Sujet: Re: [Kim & Camelya ] Passion | |
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