[Sims 3] [Tous niveaux] Créer un sim : II et III (2e et 3e sims)

Focus sur le cerveau du siècle !

Il y a trois mois, il a changé l’appréhension du monde en infirmant la théorie de la relativité d’Albert Einstein. Notre équipe du quotidien Simsoir a tenu à en savoir un peu plus sur ce garçon.

Né à Liverpool d’un père britannique et d’une mère japonaise, Akira Tessier avoue timidement son intérêt pour la science. C’est un enfant de 12 ans parfaitement normal, qui aime jouer seul ou avec ses amis, courir et qui est en pleine forme. Un petit garçon comme les autres, à ceci près que son QI est estimé à 174.

La science l’a toujours passionné et sa chambre ressemble d’ailleurs à une maquette de laboratoire scientifique. Lorsqu’on lui demande pourquoi cet intérêt, il répond : « J’aimerais laisser ma trace, faire avancer les choses ! » C’est en s’amusant à étudier la théorie de la relativité qu'il y découvre une faille. Même s'il s'agit d'une des théories les plus célèbres, ses parents ont confiance en lui. D’abord incrédule, la communauté scientifique a bien dû se rendre à l’évidence : Akira avait raison.

Depuis, tous les regards et les médias se tournent vers lui. L’enfant est admiré mais aussi jalousé. On pourrait se demander s’il vit bien la situation. « Je préfère ne pas y penser. Maintenant dans la rue, on me reconnait. On m’appelle et on m’invite à participer à des tas de réunions et d’émissions télé. Moi, je veux bien aider, mais j’aime bien être au calme aussi. Comme ça, je peux continuer à voir mes amis et à bouquiner des revues scientifiques ! »

Ce n'est pas pour autant qu’il compte s’arrêter là. Personne ne sait encore où sa passion le mènera, mais, ce qui est sûr, c’est qu’Akira est promis à un grand avenir. Il fera sûrement parler de lui dans un futur proche !
Écrit par A. Nonyme




Ci-dessus, le génie à une réunion avec les actionnaires et dirigeants de la société Fishcorp. Le sujet abordé était la sauvegarde de la biodiversité marine.
Akira : « Et c’est ainsi qu’on pourra produire des bâtonnets de poissons sans poissons ! »

Svenja (prononcer Svénya) a grandi à Malmö en Suède. C'est avec son mari, originaire du Nord de l'Allemagne qu'elle s'installe à Finnington. Depuis, ils y mènent une vie familiale paisible. C'est Svenja qui s'occupe des courses puisque Stéphane, son époux, a des horaires difficile. Comme à chaque fois qu'elle fait les courses, son estomac est noué et elle appréhende chaque repas depuis quelques semaines.


Tiens voici Stéphane. Il sembla avoir fermé son magasin plus tôt aujourd'hui. Il a enfin réussi à avoir un emplacement en plein centre ville, entre la bibliothèque et la laverie, un emplacement idéal dans la zone piétonne. Que fait-il juste avant le dîner ? Il envoie quelques lettres dont une adressée à une clinique de soins. Bien qu'il ait l'air abattu, il semble en pleine forme physique.


Hum j'ai trop mangé aujourd'hui, Devon m'a forcé à manger une pizza entière, j'ai plus trop faim. Je peux aller dans ma chambre si je débarrasse ? J'ai un contrôle demain en plus.

Ils s'y attendaient, c'était devenu habituel. Mais ils étaient toujours un peu désarçonnés. Leur petit bébé s'éloignait d'eux, préférant manger avec ses amis et fuir les repas familiaux, le cauchemar de tout ado qui se respecte.


Comme chaque soir, Andréa racontait ses peines à sa peluche préférée. Comme Devon, son petit copain, qui la trouvait sans doute trop grosse mais qui ne lui disait rien de peur de la vexer. La seule solution, c'était un petit régime éclair, même si les cookies de sa maman étaient affreusement tentants, elle ne devait pas céder. Les bourrelets devaient disparaitre ! Elle avait déjà fini ses devoirs depuis longtemps.


Comme chaque soir, avant de se coucher, Andréa se démaquille et se déshabille. Elle était tellement bien dans sa chambre, dans son fauteuil moelleux, dans ses draps doux, sa chambre aux couleurs roses et vertes, ses deux couleurs préférées, sa chambre où elle pouvait passer des heures enfermée.
Comme chaque soir, elle se regardait scrupuleusement dans la glace, examinait la moindre parcelle de sa peau pour trouver le moindre défaut, comme n'importe quel ado boutonneux le ferait. C'est bien connu après tout, à cet âge là, on veut plaire, on est coquet.


Mais se voyait-elle vraiment comme chaque jeune fille ?

Demain, ses parents devront lui parler du "pensionnat". Ça peut encore attendre.

(et une plus vieille)

↑ I take dis photo unda ze palmtree!loool


↑ Ya should be scared of me!!rofl


↑ Look!lool im very angry!lmao!!