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Auteur | Message |
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Mad Animateur Date d'inscription : 05/05/2013 Age : 37 Localisation : Ici ou là... ou ailleurs
| Sujet: Re: Folles créations Dim 08 Juin 2014, 13:58 | |
| Pourtant, Willfried est un de ceux sur qui j'ai passé le moins de temps (en fait, c'est une copie de la Janel d'origine en masculin). Redouane, à la base, c'est Tom Cruise. |
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willoshana Peintre prestigieux Date d'inscription : 11/07/2012 Age : 40 Localisation : Sud
| Sujet: Re: Folles créations Lun 09 Juin 2014, 20:16 | |
| Ils ont tous du caractère, j'aime bcp Rémy, Solange, Janel.... Les lunettes rondes de Kim-Louis, c'est un téléchargement ou avec un add-on ? |
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Mad Animateur Date d'inscription : 05/05/2013 Age : 37 Localisation : Ici ou là... ou ailleurs
| Sujet: Re: Folles créations Lun 09 Juin 2014, 20:25 | |
| Merci ! Les lunettes de Kim-Louis viennent d' ici |
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willoshana Peintre prestigieux Date d'inscription : 11/07/2012 Age : 40 Localisation : Sud
| Sujet: Re: Folles créations Lun 09 Juin 2014, 20:27 | |
| Trop rapide, merci j'en cherchais pour ma grand-mère sims^^ |
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Delise Admin Date d'inscription : 05/04/2012 Age : 45 Localisation : Lyon
| Sujet: Re: Folles créations Mer 11 Juin 2014, 11:09 | |
| wha, tout ça ? Il me semblait bien que tu avais pas mal de modèles, mais je n'aurai pas pensé autant ! En tout cas, belle brochette, ils ont tous d ela personnalité ! Petite préférence pour Billie, je ne me souviens pas si je l'ai vue dans une image ? |
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Mad Animateur Date d'inscription : 05/05/2013 Age : 37 Localisation : Ici ou là... ou ailleurs
| Sujet: Re: Folles créations Mer 11 Juin 2014, 11:49 | |
| De rien, Will ! Et merci Delise ! Billie, c'était ma Miss SA |
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Delise Admin Date d'inscription : 05/04/2012 Age : 45 Localisation : Lyon
| Sujet: Re: Folles créations Mer 11 Juin 2014, 11:52 | |
| ah oui, suis-je bête, bien sur ! |
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Miss_Cupcake As de l'acrylique Date d'inscription : 14/08/2013 Age : 25 Localisation : Dans mon cocon
| Sujet: Re: Folles créations Mer 11 Juin 2014, 23:55 | |
| Whoooow encore une belle brochette! ^^ J'avais déjà vu (et retenu surtout) Billie et Marek je crois! ^^ J'adore Dario moi! |
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Mad Animateur Date d'inscription : 05/05/2013 Age : 37 Localisation : Ici ou là... ou ailleurs
| Sujet: Re: Folles créations Jeu 12 Juin 2014, 00:06 | |
| Merci Maya ! Et Marek était mon participant au modeling 2013. Delise, pour ta défense, je l'ai teinte en blonde depuis |
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Free-Spirit Illustre illustrateur Date d'inscription : 23/09/2013 Age : 30 Localisation : Strasbourg
| Sujet: Re: Folles créations Ven 13 Juin 2014, 11:57 | |
| - Citation :
- Oulà.... Willfried et Redouane... Comment dire... J'en perds ma culotte. Embarassed
xD quand j'ai lu ça en arrivant dans la galerie je me suis dit "OULA LA faut que je vois de quoi il est question là !" J'aime beaucoup voir ces montages ou apparaissent tous les sims crées. C'est chouette et on peut se rendre compte est-ce que certains sims auraient des traits trop similaires, quelles sont les choses à changer etc. Pour ma part j'aime beaucoup Carlotta et Victor ! Après je ne sais pas si c'est parce que l'image est petite et du coup que les détails n'apparaissent pas, mais ce qu'il manque à mon gout ce sont des masks. Pores, taches de rousseurs, cernes et ombres. A moins que tu ne sois pas trop fan de ces CCS. Enfin voila, sinon j'aime bien tes personnages |
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Mad Animateur Date d'inscription : 05/05/2013 Age : 37 Localisation : Ici ou là... ou ailleurs
| Sujet: Re: Folles créations Ven 13 Juin 2014, 13:11 | |
| Merci de ton passage ! Si si, ils en ont tous, mais comme j'ai rétréci l'image, les détails s'estompent |
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Mad Animateur Date d'inscription : 05/05/2013 Age : 37 Localisation : Ici ou là... ou ailleurs
| Sujet: Re: Folles créations Dim 15 Juin 2014, 12:28 | |
| On va changer un peu, avec des petits textes cette fois-ci ! Ils sont assez vieux et ont été écrits dans un cadre similaire à celui des battles, c'est-à-dire avec un thème imposé, chacun pouvait participer quand il le souhaite puisqu'il n'y a pas de gagnant. - Une rencontre :
Qui suis-je ?
Aucune idée. Une ombre. Un fantôme. Une coquille vide. Oui, c'est ça, une coquille vide. Ça correspond tout à fait à ce que je suis en ce moment. Un être physiquement présent, mais sans substance, sans profondeur. Comment ça a pu m'arriver, à moi ? Ne pas savoir qui je suis réellement. On m'a donné des détails sur moi et sur ce qui m'est arrivé. Mais ça semble tellement irréel...
Apparemment, je suis vendeur en téléphonie mobile. Un des meilleurs de ma boite d'après ce qu'on m'a dit. En gros, je passe mes journées à essayer de convaincre des gens de se fournir chez moi plutôt que chez le voisin. Passionnant... Oh ! et, détail non négligeable, je suis marié et j'ai deux enfants. Une famille que je ne connais pas. En bref, je suis un mec banal qui mène une vie banale. Tout ça ne me ressemble pas du tout. Mais qu'est-ce qui me ressemble ? Ça non plus, j'en sais rien.
Tout ça à cause de ce chauffard ivrogne ! C'est dingue quand même, quand on y pense, comme tout peut basculer en une seconde. Vous menez une vie normale, vous êtes heureux, avec une famille, des amis. Puis, tout d'un coup, plus rien. Je sais que j'étais heureux, j'ai vu les photos et les vidéos. Ma femme est ravissante, mes enfants sont adorables. Mais ils ne représentent plus rien pour moi.
Vous ne pouvez pas savoir quel effet ça fait. C'est rageant ! Voir tous ces gens qui veulent m'aider, alors que je ne sais même pas qui ils sont ! Ils partagent leurs souvenirs avec moi, dans l'espoir de me les rappeler, mais ça ne sert à rien. A rien du tout.
Voilà la réponse que j'aurais faite il n'y a pas si longtemps à cette question si simple. Qui suis-je ?J'étais un inconnu pour moi-même, incapable de me souvenir.
Aujourd'hui, tout a changé. J'ai retrouvé le fil de ma vie. Petit à petit. Les efforts de mes proches ont fini par payer. Je me rappelle enfin d'eux, de moi, de nous. Bien sûr, je ne souviens pas encore de tout, ce sont uniquement des bribes de souvenirs qui me reviennent. Cette perte de mémoire aura finalement été bénéfique, m'aura poussé à me recentrer vers l'essentiel.
Je ne consacre plus autant de temps à mon boulot. Je passe énormément de temps avec mes enfants, ma joie de vivre. Ma femme et moi avons décidé de nous retrouver. Tout se passe comme si on ne se connaissait pas et qu'on se rencontrait à nouveau. Je la regarde de nouveau comme au premier jour. C'est merveilleux, ce mélange de sentiments, à la fois l'impression de la connaître parfaitement et de la découvrir chaque jour.
Je sais enfin qui je suis et, plus important encore, qui est ma famille.
- Un nouveau monde :
- Texte 1 :
Je n'ai jamais déménagé. Ces mots peuvent sembler étranges de la part de quelqu'un qui a étudié dans une autre région pendant cinq ans. Une autre région qui n'est qu'à une heure et demi de route, mais qui m'a néanmoins contraint à louer un appartement sur place, chaque année. Mais je ne me suis jamais attaché à ses appartements, qui n'avaient pour moi qu'un côté pratique. Je ne m'y considérais pas comme chez moi. D'ailleurs, toutes les semaines, ainsi que pendant les vacances, je rentrais à la maison. La maison...
Toute ma vie, je l'ai passée dans cette maison au bord de la mer. Petite maison anodine à quelques mètres de la plage, elle attirait cependant le regard des promeneurs par son aspect pittoresque. Avec ses murs de pierre, elle représente le type-même de la maison bretonne. Son jardin, protégé par un muret lui aussi en pierre, est décoré de toutes sortes de fleurs, arbustes et buissons dont j'ignore le nom. On accède à la propriété par un portillon en bois, donnant sur une courte allée de gravillons, jusqu'à atteindre la porte d'entrée. Voilà ce que tout un chacun peut voir de la maison. Mais elle représente tellement plus. Jamais je n'oublierai ces repas de fête en famille, interminables. Ou ces heures passées dans le champ derrière la maison, à se cacher dans les hautes herbes. Ou encore tous ces petits moments du quotidien qui font qu'on s'attache à un endroit. Au point de vouloir ne jamais le quitter.
Seulement, il arrive un moment où, comme l'on dit, l'oiseau doit quitter le nid. J'ai bien tenté de le retarder le plus possible. Mais avec mon diplôme de fin d'étude en poche et la nécessité de trouver du travail, ce n'était plus possible. Et ce moment tant redouté se déroule à l'instant même, là, tout de suite. J'ai du mal à m'en rendre compte. Je suis en train de déménager, avec toutes les conséquences que cela implique. Conséquences que, jusque là, j'imaginais insurmontables. Je m'attendais à ce que ma vie change du tout au tout. Finalement, c'est loin d'être le cas. Il ne s'agit pas d'un changement, mais plutôt d'une continuité. Les parents élèvent leurs enfants pour leur apprendre à être indépendants lorsque vient le moment du départ. C'est le cycle normal des évènements. Il était temps pour moi d'emménager dans cet appartement.
D'autant plus que je m'y sens bien, il me ressemble, si on peut dire. Studio discret et classique concernant la cuisine et la salle de bains, il se révèle plein de caractère une fois qu'on pénètre dans ce grand espace, parqueté et lambrissé, faisant office de chambre et de pièce à vivre. Un couloir y donne accès, de même qu'aux deux autres pièces. Aménagé sous les combles, les poutres y sont apparentes, ce qui lui donne un certain cachet, que j'apprécie beaucoup. La pièce étant haute de plafond, le coin lit est surélevé par rapport au salon, ce qui permet de l'agrandir ; on y accède par une petite échelle. Directement en-dessous, on trouve un espace de rangement, comportant commode et bibliothèque. Dos à ce petit espace, une télévision est accompagnée de deux fauteuils, qui occupent l'essentiel de la pièce, laissant la place à un bureau contre la fenêtre donnant sur la ville. Je m'imagine bien passer du temps ici. Chez moi.
- Texte 2 :
Après tous ces mois de boulot, Jimmy, 19 ans, allait enfin pouvoir l'acheter. La voiture de son père. Bien sûr, celui-ci aurait pu la lui donner. Mais non, faisant pour une fois usage de son autorité paternelle, il avait préféré le faire trimer au restaurant familial pour qu'il puisse se la payer. Sous prétexte qu'il ''devait apprendre la vie'' et qu'on ''n'obtient pas ce qu'on veut en claquant des doigts''. Encore un moyen de le faire chier, oui !
Bref, cette voiture allait finalement être à lui. Oh, elle n'avait rien de spécial, ce n'était qu'une vieille voiture sans prétention, qui faisait souvent des siennes (au point que son père l'appelait parfois ''petite bâtarde''). Mais elle était quand même solide malgré son kilométrage. Une bonne vieille bagnole, quoi. Tant qu'elle pouvait le conduire d'un point A à un point B, c'était suffisant pour Jimmy. Ça signifiait la liberté, enfin, pour lui.
Après avoir payé son père, il prit enfin possession de l'engin et fit tourner la clé dans le contact. Comme à son habitude, l'auto se mit à tousser quelques secondes avant de se mettre à ronronner bruyamment. Il alluma le vieil autoradio. Comme aucune radio ne marchait, il écouta la cassette que son père avait mise dedans. Il tomba sur Time is on my side, des Stones. C'est mieux que rien. Jimmy quitta alors la maison et s'engagea sur la route. Il remarqua sur le pare-brise cet autocollant ridicule avec le nom du resto, ''A l'Est d’Éden''. D'où venait ce nom, Jimmy n'en savait rien et s'en fichait complétement. Il faudrait qu'il pense à enlever ce sticker.
Après avoir roulé calmement pendant plusieurs kilomètres, il décida de profiter du fait que la route soit quasiment déserte pour accélérer le plus possible. Histoire de vérifier ce que la voiture avait dans le ventre. Il fut rapidement pris en chasse par deux motards postés là et décida de s'amuser un peu.
Time is on my side ...
La vitesse et le fait de briser les interdits étaient de plus en plus grisants pour lui. Ça lui permettait d'exprimer cette fureur de vivre qui brulait en lui. Les deux motards le rattrapèrent et lui firent signe de se rabattre. Il accéléra encore.
Time is on my side …
Il arriva à un stop. Une seconde voiture arrivait sur la gauche, sur le point de le croiser. Il décida quand même d'accélérer. Persuadé qu'il ne risquait rien. Qu'en allant assez vite, il passerait avant l'autre.
Time is on my side …
La voiture le percuta de plein fouet.
Time is on my side ...
- Une suite :
- Texte dont il faut écrire la suite :
Carter Melington ferma le judas de la cellule 65, cocha la case de présence correspondant au bon occupant et passa à la suivante. Cellule 66. Il n'aimait pas le type qui y était. Un tueur en série qu'on lui avait dit. Un de ces fous furieux qui avait dépiauté des femmes comme on pèle une banane. Depuis sept ans qu'il travaillait au pénitencier, Carter avait toujours apprécié de faire l'appel du matin. C'était pas fatigant, on avait pas à sévir avec les prisonniers puisqu'ils ne sortaient pas de leur quartier et si on se dépêchait, on pouvait se prendre une bonne heure en cuisine avant d'être du service des douches. Mais depuis que l'occupant de la 66 était là, Carter n'aimait plus trop faire l'appel. Il devait regarder si le gars était toujours présent, simple mesure de sécurité, et parfois le mec l'observait à son tour.
- Ma version :
Son regard était différent de ceux des autres détenus. Il voyait dans la plupart d'entre eux de la culpabilité, de la résignation, ou de l'indifférence pour certains. Mais le type de la 66 avait un regard étrange. Qui le mettait mal à l'aise. Comme s'il était vide. Il ouvrit le judas pour vérifier que le type était bien là. Au bout de quelques secondes, il l'aperçut recroquevillé dans un coin de sa cellule. Le regard vide, comme à son habitude. Mais cette fois-ci, au lieu de détourner les yeux, Carter fut captivé par ce regard. Il lui faisait penser au regard d'un animal en cage et qui n'a rien à y faire. Il ressentait de l'injustice en plongeant son regard dans celui du type. Il se sentait privé de liberté, sans aucune raison. Désespéré. Anéanti. Il ne pouvait quitter ce regard des yeux ... Un bruit sourd quelque part le ramena à la réalité. Au moment où il s’apprêtait à refermer le judas, le type lui parla : - S'il vous plait, dites-leur. Sa voix était plus douce que ce à quoi Carter s'attendait. On aurait dit une voix d'enfant. Un enfant terrifié. - Que je leur dise quoi ? rétorqua la gardien. - Que j'y suis pour rien. J'ai rien fait à tous ces gens. - C'est ce qu'ils disent tous … - Mais vous, vous savez que c'est vrai. Vous l'avez vu. - Écoute, mon gars, j'ai pas de temps à perdre avec tes conneries. Alors laisse-moi bosser, tu veux ? Si t'es ici, c'est qu'y a une bonne raison. Il referma le judas. L'autre se mit alors à brailler. - Non !Vous pouvez pas faire ça ! C'était pas moi ! - Tu vas la fermer ! lui intima Carter, en rouvrant le judas. Jusqu'ici, tu t'es tenu à carreau. Ce serait bien de continuer si tu veux pas finir au mitard ! - Vous comprenez pas ce que c'est que d'être enfermé ici ! beugla le type, tandis que le gardien tirait le judas. Non ! Revenez ! Aidez-moi, je vous en prie ! Mais Carter s'éloignait déjà. Des prisonniers qui se disaient innocents, il en voyait tous les jours. Il ne les avait jamais crus. Jusqu'à maintenant. Si seulement il n'avait pas croisé ce regard...
- La suite véritable :
C'était vraiment désagréable quand ce type posait son regard sur lui. C'était comme s'il retrouvait le sourire tout d'un coup. En fait, Carter avait l'impression qu'il n'était pas un gardien de prison mais un daim ou une gazelle que le prédateur savoure des yeux avant de lancer la chasse. Ce type ne se comportait pas comme si c'était lui qui était derrière les barreaux, on aurait dit qu'il ne se savait pas en prison ou qu'il trouvait ça tellement puéril qu'il n'y accordait aucune importance. Carter s'arrêta devant la porte en acier. Il tira le judas et scruta l'intérieur de la cellule. Une fois de plus, il eut l'impression que la pièce était plus sombre que les autres. Avec des ombres plus épaisses et plus larges. Le type était là, assis sur sa couchette, les mains sur les genoux, la tête penchée. Il émit un bruit de bouche que Carter entendit distinctement, ce qui lui procura une très désagréable sensation. Et le type parla. - Gardien Mellington. Dites à ces incultes que j'en ai formé bien d'autres encore. Carter sentit ses mains se geler. On disait que l'occupant de la 66 ne parlait jamais. - Dites-leur bien que Leland et Wayne n'étaient qu'un échantillon. Un prélude à l'horreur. J'en ai formé beaucoup d'autres à travers le pays. J'ai pris tout mon temps, et je m'y suis bien appliqué. Bientôt, nous allons en entendre parler. Bientôt. Alors il leva la tête vers Carter et plongea son regard dans celui de son gardien. Carter manqua de lâcher son stylo, et eut la force de fermer le judas. Non, c'était impossible. Il avait rêvé. Il se passa la main sur le visage. Il tremblait. Il souffla plusieurs fois pour chasser l'image qu'il avait eue, pour faire fuir le doute. Oui, c'est ça, tu t'es fait une sacrée hallucination ! C'est ton esprit qui te joue un tour mon vieux!va falloir dormir plus et manger moins épicé le soir ! Il reprit la planche avec le listing de présence et se remit en marche, le pas moins assuré. Ses mains étaient désagréablement moites. Pendant une seconde, il avait cru voir les yeux de Milton Beaumont s'allumer d'une lueur rouge. Et pendant ce court instant, il avait vu son âme. L'âme du Mal. Il passa à la cellule 67 en se jurant de n'en souffler mot à personne. Ses pas tintèrent sur le revêtement dur du sol et il s'éloigna en secouant la tête. L'âme du Mal... (Maxime Chattam, L'âme du Mal, épilogue).
- Un rêve :
Deux textes en réalité, mais le second est la suite du premier.Je ferme les yeux.
Me voici transporté dans un monde totalement différent de celui dans lequel j'étais avant de m'endormir. Pourtant, j'ai l'impression de connaître parfaitement cet endroit. Comme si j'y avais toujours vécu.
Je me trouve dans un petit village de campagne, qui n'a rien de commun avec la mégapole d'où je viens. Tout y apparaît tellement rustique qu'on se croirait revenu au Moyen-Age. La place centrale est entourée de divers commerces, de l'auberge à la forge. D'ordinaire, cette place est plutôt tranquille, on y croise quelques fermiers se fournissant qui en matériel d'outillage, qui en graines. Mais aujourd'hui, il y a foule : c'est jour de foire. J'entends des différents étals les voix puissantes des marchands qui vantent les qualités de leurs produits afin d'attirer le chaland.
J'effectue les quelques emplettes pour lesquelles mes parents m'ont envoyé ici puis quitte le marché. En m'éloignant, je n’aperçois aucune route route, seulement quelques chemins de terre menant aux fermes alentour. La nôtre se trouve à l'ouest, à quelques milles du village. Pourtant j'y arrive le temps d'un clignement d’œil, sans que cela me paraisse anormal. J'y rapporte mes achats et me rends au potager aider à la récolte. Tout cela me semble des plus naturels, moi qui n'ai jamais travaillé de mes mains.
Cette sensation m'apparait de plus en plus étrange. C'est alors que je rappelle être au bout milieu d'un rêve et que tout ce qui m'entoure provient de mon inconscient. C'est donc moi qui suis à l'origine de cet univers à l'opposé du mien. Certains pourraient chercher les raisons d'une telle disparité, mais ces raisons m’indiffèrent complètement. Ce paysage rural correspond à ce dont j'ai envie pour le moment et cela me semble suffisant comme raison.
Puisque ce monde est le fruit de mon imagination, je dois pouvoir être capable d'y effectuer certains prodiges. Je me demande bien lesquels sont à ma portée ici. Voler devrait être possible. Je me concentre alors et essaie de m'élever dans les airs par la force de ma pensée. En vain. Je recommence en faisant de petits sauts. Sans succès.
Comment cela se fait-il ? Suis-je vraiment en train de rêver ? Il ne peut en être autrement. Je dois trouver une autre explication. En voici une qui convient : l'impossibilité de voler doit être tellement ancrée dans mon esprit que celui refuse de s'exécuter. Je décide alors d'escalader ce grand arbre et de sauter, sachant que je ne cours aucun danger dans ce rêve. Je grimpe jusqu'à trouver un branche assez solide pour soutenir mon poids, m'y mets debout en m'aidant des autres branches et m'élance dans le vide.
Je me réveille en sursaut au pied de mon lit, le bras endolori.
Plusieurs jours après cet épisode des plus étranges, je m'interroge encore sur le point de savoir s'il s'agissait réellement d'un rêve, tant la sensation de faire partie intégrante de ce monde était prégnante. Une impression vraiment différente de celle que l'on ressent dans un simple rêve. Comme si j'avais été transporté dans un autre univers, que je connaitrais depuis toujours...
Le fait de ne pas pouvoir y agir à ma guise (j'ai encore mal au bras) me conforte dans ma certitude que ce n'était pas un songe ordinaire. Et pourtant, j'ai tout de même parcouru plusieurs kilomètres en à peine une seconde, ce qui n'est possible que dans un rêve. Pour avoir le cœur net sur ce qu'il s'est réellement passé, il faudrait que j'y retourne. Or, depuis cette fameuse nuit, je ne parviens plus à trouver le sommeil, tout en me sentant malgré tout parfaitement reposé.
Depuis lors, j'ai même la curieuse impression d'être observé en permanence. Cependant, aucun sentiment d'oppression n'y est associé ; cela me paraît la chose la plus normale au monde. Moi et la personne qui m'observe faisons partie d'un tout indissociable et partageons les différents moments de notre existence. Cela semble stupide à dire, mais c'est ce que je ressens. Ce serait également une explication convaincante de ce qui est arrivé l'autre jour : à ce moment-là, l'observateur, c'était moi. A cette exception près que j'ai quand même sauté d'un arbre pour m'envoler, ce qui démontre que j'avais un certain contrôle de la situation.
Est-ce le cas de mon observateur ? M'en souviendrais-je ? Je n'en ai pas la moindre idée, mais je pense qu'on l'aurait remarqué dans mon entourage, si j'avais fait des choses sortant de l'ordinaire. Ou peut-être mon observateur est-il plus prudent que moi lorsque je jouais ce rôle.
Je me suis enfin endormi.
Je me retrouve dans notre (leur ?) ferme. Nous nous apprêtons à déjeuner après une matinée de travail aux champs. Je m'approche du seau d'eau pour me laver les mains et la figure. Telle n'est pas ma surprise lorsque j’aperçois mon reflet dans l'eau. Je me dis que j'aurais dû m'en rendre compte bien avant et que cela aurait été le cas sans ce sentiment que tout est normal. En tous cas, cela confirme mes soupçons. Il ne s'agit pas du tout d'un rêve.
Car le visage reflété par l'eau du seau est celui d'une jeune fille !
- Un secret :
La pièce est sombre, éclairée par un unique plafonnier. Pour tout mobilier, une table entourée de quatre chaises. Et le fameux miroir en face de moi. La lampe au plafond, faiblarde et grésillante, remplie la pièce d'ombres et rend l'atmosphère glauque. Une tentative pour m'impressionner, j'imagine. Raté : on ne me fait pas peur aussi facilement.
Le temps passe... Près d'une heure que je suis assis là. Ils sont persuadés qu'en me laissant seul, je vais craquer et tout leur dire. Peuvent toujours attendre. Pourraient se grouiller un peu quand même, je commence à avoir soif. Z'ont mis le chauffage à fond, ces enfoirés.
Un type entre enfin. - Salut Bobby ! Tu veux quelque chose ? Un Coca ? V'là le gentil flic. L'inspecteur Beaumont. Un jeune idéaliste. - Ça ira. - Alors, dans quelle embrouille tu t'es encore fourré, hein ? - Qu'est-ce que ça peut vous foutre ? - Tout ce que je cherche, c'est te rendre service. Ça fait un moment qu'on se connait, pas vrai ?Je sais bien que tu n'as rien à voir là-dedans. - Dans quoi, bordel ! J'ai rien à voir avec ça, moi ! - OK, OK ! Je te crois moi. Mais je suis bien le seul. Je te le répète, je ne cherche qu'à t'aider. Mais il faut que tu y mette un peu du tien pour que je puisse plaider ta défense. - J'ai rien à dire. Son portable se met à sonner. Il sort pour répondre.
Un deuxième gars entre à son tour. - Ce coup-ci, tu pourras pas t'en tirer. Pas avec toutes les preuves qu'on a contre toi. Et v'là le méchant flic. L'inspecteur Doherty. Un pauvre alcoolo. - Vous pouvez rien avoir puisque j'ai rien fait ! - Que tu dis, que tu dis. - Ça veut dire quoi ça ? - Ce que ça veut dire, c'est qu'un témoin t'a vu. T'es foutu, mon gars. - Qui m'a vu ? Et où ? - T'imagine pas que je vais te le dire. Je vais te dire un truc : sur ce coup-là, tu m'impressionnes. Je t'aurais cru capable de monter un coup pareil. Rien à voir avec tes petits rackets et tout ça. Tu rentres dans la cour des grands là. Et merde, ils savent tout. Je fais quoi maintenant ?
Voilà Beaumont qui revient. - Alors Bobby, on en était où ? - Au moment où vous vous faites des films en imaginant que je vais tout balancer. - Si tu continue comme ça, je ne pourrais plus rien pour toi. - Pourquoi tu cherches à défendre cette pourriture de tueur de flics ? rétorque Doherty. Là, ça va trop loin, je vais pas tomber pour un truc que j'ai pas fait ! - Wowowowo ! C'est quoi, c't'histoire ! J'ai descendu personne, moi ! - Ce n'est pas ce qu'on a dit, répond Beaumont d'un air calme. - C'est ce qu'il a l'air de penser lui, en tous cas ! - Tout ce qu'on peut dire, c'est que les corps de deux inspecteurs ont été retrouvés près de ton secteur. - Mon secteur ?! - Oh arrête un peu de faire l'innocent, tu veux, fit Doherty. On sait très bien que tu t'es mis à dealer, mais on n'est pas là pour ça. Le meurtre de deux inspecteurs, c'est du sérieux, mon garçon. - C'est des conneries, tout ça. J'revends que dalle. - Écoute, Bobby, dit Beaumont. Cette histoire de drogues, pour l'instant, on s'en fout. Ça peut s'arranger. Notre priorité, c'est de découvrir l'assassin de nos collègues, tu comprends ? Et toi, tu es là pour nous aider à les coincer, parce que tu les as sûrement vus. Alors, on va essayer de dérouler le fil des évènements, tu veux bien ?
Au bout de plusieurs heures, comme j'ai rien à leur dire, ils me laissent enfin sortir en me proposant de devenir leur indic. Vu que j'ai pas trop le choix, j'accepte.
Au même moment, dans la salle de repos du commissariat. - Alors, Lance, qu'est-ce que tu en penses ? demande Doherty. Il sait quelque chose ou pas ? - Je ne pense pas qu'il ait vu quoi que ce soit, mais on n'est jamais trop prudent. - C'est aussi ce que je pense. Tu t'en charges ? - D'accord. A demain, Phil. - C'est ça.
- La peur :
Vendredi 5 août 201118h
On y arrive enfin. C'est ce soir qu'on doit partir camper, avec Flo et Ju. Un week-end entier sans les parents, ça promet d'être génial ! On va bien se marrer en forêt. Le père de Flo est en train de klaxonner devant la maison, pour me faire savoir qu'il est arrivé. C'est lui qui nous emmène là-bas. 1h30 de route, puis on se retrouvera seuls tous les trois. J'ai hâte qu'on y soit !
20h15
On a fini de tout installer. C'était un peu galère de monter la tente mais sinon ça va. On va devoir se serrer pour rentrer à trois là-dedans ! Ju prépare à manger (j'espère seulement que ce sera mangeable). Au menu : ravioli au feu de bois et guimauve grillée.
23h30
Après une soirée d'histoires à faire peur et autres blagues débiles, on rentre sous la tente (ça va tout le monde tient dedans). Flo nous fait une dernière blague foireuse en se faisant passer pour le mystérieux monstre du fond des bois, puis on éteint les lampes. Demain, on a prévu d'aller pêcher. Samedi 6 août 20112h10
Le feu s'est éteint. En allant le rallumer, j'aperçois une ombre étrange... Ah Flo et tes histoires, je me fais des films à cause de toi !
7h
Tout le monde est levé (merci le soleil). P'tit déj : tartines de confiture. Puis on part vers la rivière faire leur sort aux poissons ! En nous y rendant, j'ai l'impression bizarre qu'on est suivis. C'est sûrement le vent ou un animal.
11h20
De retour au camp, on le retrouve complètement saccagé ! La tente éventrée, la réserve de nourriture épuisée... Pendant qu'on nettoie le campement, je leur fais part de mon impression d être surveillé. Ils me traitent de parano et disent que c'est sûrement un animal. Je leur fais remarquer que même les boîtes de conserve sont vides et qu'un animal serait incapable de les ouvrir. Ils rétorquent que ça peut très bien être un sanglier. On décide de ce rapprocher de la rivière, après avoir manger. Il nous reste seulement les poissons qu'on vient d'attraper. Heureusement que Flo a un briquet, parce qu'on n'a plus d'allumettes. Je trouve quand même ça flippant : quoi ou qui a pu faire ça ?
13h40
On a fini de déplacer ce qui reste du camp. On a rafistolé la tente comme on a pu, mais on y tient plus qu'à deux. De toutes façons, j'ai réussi à les convaincre de mettre en place un tour de garde, on ne sait jamais.
18h
On a passé l'après-midi à se baigner dans la rivière. Il ne s'est rien passé de spécial, je commence à me dire que je me suis inquiété pour rien. On s'apprête à manger ce qui nous reste de poissons.
22h
A cours d'histoires, on décide d'aller se coucher. Malgré que tout s'est bien passé, je propose de tirer à la courte paille, pour déterminer l'ordre des tours de garde. C'est Ju qui s'y colle en premier, puis moi, puis Flo en changeant toutes les 3h.
Dimanche 7 août 20111h30
C'est à mon tour de garder le campement. Ju aurait dû me réveiller depuis 1/2h. Il doit s'être endormi. J'en ferais bien autant, mais bon les tours de garde, c'était mon idée, ce serait le comble si je ne le faisais pas moi-même. Je prends juste le temps d'écrire ces mots et j'y vais.
3h
Ju a disparu. C'est carrément l'angoisse. Au début, j'ai pensé à une blague. Mais ça fait 1h30 qu'on le cherche et il est introuvable. Flo appelle son père. Je savais bien que c'était pas un animal.
3h10
On nous a volé nos portables. Qu'est-ce qu'on va faire ? Le père de Flo doit passer nous reprendre vers 19h.
4h20
On a continué à chercher Ju. On a trouvé des traces, mais elles s'arrêtent à la rivière. Le type qui l'a enlevé a donc dû continuer à marcher dans l'eau pour qu'on ne le retrouve pas. On a quand même traversé pour essayer de retrouver la piste. Pour avoir plus de chances de le retrouver, on s'est séparés, en se disant qu'on reviendrait dans 1/4h. Ça fait déjà 20 minutes que je suis revenu au camp et Flo n'est toujours pas là. Est-ce que le type l'a eu aussi ? J'ai fait les cent pas en l'attendant, avant de rentrer dans la tente. Je me dis que ce sera plus difficile pour lui de m'avoir si je m'enferme la-dedans. D'un autre côté, je ne pourrais pas m'enfuir s'il m'attaque...
5h
C'est idiot de rester enfermé. Je décide de rejoindre la route, même si à cette heure-ci, il n'y aura sûrement personne. Je courrais moins de risque là-bas et je tomberais forcément sur des habitations au bout d'un moment, où je pourrais téléphoner.
7h
Après deux heures de route, passées à me retourner toutes les deux secondes pour voir si on me suit, je trouve enfin une maison. Malheureusement, il n'y a pas le téléphone (c'est une maison de vacances et l'habitant veut être tranquille), mais il m'offre un petit-déjeuner et me conduira au poste de police le plus proche. Heureusement que ça existe, les gens sympa et qu'il n'y a pas que des malades comme ce type dans les bois. J'aperçois une veste qui ressemble à celle de Flo. Qu'est-ce qu
- Espoir et désespoir :
Voilà douze ans que leur vie avait changé. Depuis que le diagnostic était tombé. Mucoviscidose. Leur fils avait cinq ans à l'époque et, malgré son jeune âge, se rendait parfaitement compte de la situation. C'était presque là le plus triste pour eux. Le voir ainsi perdre l'innocence qu'il aurait dû garder encore longtemps. Depuis lors, leur vie était rythmée par la prise de médicaments et les séances de kiné, si contraignantes. Tout en sachant qu'il ne s'agissait là que de palliatifs, qui, tôt ou tard se révéleraient insuffisants. Et là, seule une greffe serait réellement efficace. Ils espéraient que ce jour n'arriverait jamais. *** C'était arrivé sans prévenir. Un après-midi calme, tout ce qu'il y a de plus ordinaire. Si ce n'est que leur fils venait d'acheter sa première voiture, celle de son père. Impatient de rouler avec, il s'était élancé à toute vitesse sur la route, avait grillé un stop. Et s'était pris une voiture. Mais qu'est-ce qui avait bien pu lui prendre !? Il avait survécu à l'accident, mais était dans le coma depuis plusieurs mois. A tout moment, il risquait de ne plus pouvoir se réveiller. Ils espéraient que ce jour n'arriverait jamais. *** Ce jour arriva. Un bilan trop alarmant et il fut inscrit sur la liste d'attente pour une greffe pulmonaire. Les voilà donc à espérer trouver un donneur. Espérer la mort d'un autre. Une chose affreuse, quand on y repensait. Mais la vie de leur fils en dépendait. On leur avait remis un bipper pour les prévenir qu'un donneur compatible avait été trouvé. A chaque instant, ils attendaient qu'il retentisse... *** Ce jour arriva. Leur fils fit une attaque (un AVC comme disent les médecins) et son cerveau ne donna plus aucun signe de fonctionnement. Les médecins leur expliquèrent que ses organes pouvaient sauver plusieurs vies et leur demandèrent leur autorisation de les prélever. Mais il respirait encore, ce pour quoi ils refusèrent, espérant encore qu'il se réveillerait... *** Des mois qu'ils attendaient, sans résultat. Ils commençaient à perdre espoir, mais refusaient de le montrer à leur fils. Bien sûr, celui-ci n'était pas dupe, il ne l'avait jamais été. Mais ils voulaient se montrer forts pour lui, comme il l'avait été toutes ces années. *** Finalement, ils acceptèrent. *** Le bipper retentit enfin.
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Mad Animateur Date d'inscription : 05/05/2013 Age : 37 Localisation : Ici ou là... ou ailleurs
| Sujet: Re: Folles créations Jeu 26 Juin 2014, 13:35 | |
| J'ai commencé à retravailler des personnages. On débute avec Seymour ! |
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willoshana Peintre prestigieux Date d'inscription : 11/07/2012 Age : 40 Localisation : Sud
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LadySquirrel As de l'acrylique Date d'inscription : 30/07/2012 Age : 30 Localisation : Haute Cour
| Sujet: Re: Folles créations Jeu 26 Juin 2014, 20:00 | |
| Houuuuu. Je l'aime bien comme ça, même si ça surprend: la forme du visage change tout ! Mais il est toujours aussi beau ! Dis dis, tu vas reéssayer de le teindre en blooond ? |
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Ptitemu As de l'acrylique Date d'inscription : 29/06/2013 Age : 47 Localisation : Sur la route...
| Sujet: Re: Folles créations Jeu 26 Juin 2014, 20:10 | |
| Miam ! Un quatre heures |
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Mad Animateur Date d'inscription : 05/05/2013 Age : 37 Localisation : Ici ou là... ou ailleurs
| Sujet: Re: Folles créations Jeu 26 Juin 2014, 21:00 | |
| Merci ! Je voulais surtout le rajeunir un peu. - LadySquirrel a écrit:
Dis dis, tu vas reéssayer de le teindre en blooond ? Avec un ballon bien placé ? |
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Naine As de l'acrylique Date d'inscription : 14/01/2012 Age : 33 Localisation : Ici : x
| Sujet: Re: Folles créations Ven 27 Juin 2014, 01:09 | |
| Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii tu as enfin décidé de diversifier encore tes sims et de raboter la tête de tes sims ! (Je me souviens t'avoir conseillé de le faire un jour sur un de tes sims, ou bien d'en créer un avec une tête plus arrondie). Coucou Mad, Seymour est fort charmant comme ça Alors en remontant ta galerie, je vois que tu as déjà diversifié tes sims (et que tu en as créé énormément, mazette o_o bravo, ils sont sympas dans l'ensemble ! Tu comprendras que je ne commente pas chaque sim à part, mais ils ont vraiment du caractère et on voit que tu as évolué ^^) Mention spéciale à tes relookings (qu'ils respectent le caractère du personnage ou qu'ils soient fifous), ils sont pas mal ! (Et je présume qu'ils respectent les contraintes imposées par Loba, notamment avec Gobias, très chouette son relooking ) |
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Bettyboopjade Ange gardien Date d'inscription : 25/03/2011 Age : 41 Localisation : Mons (Belgique)
| Sujet: Re: Folles créations Ven 27 Juin 2014, 08:20 | |
| Quel changement ! Il est vraiment sympa comme ça ! ^^ |
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Rope' Peintre prestigieux Date d'inscription : 15/01/2012 Age : 31
| Sujet: Re: Folles créations Ven 27 Juin 2014, 11:25 | |
| - LadySquirrel a écrit:
- Dis dis, tu vas reéssayer de le teindre en blooond ?
Non, sérieusement, arrêtez avec les black teint en blond, c'est vraiment pas top. Je ne t'ai jamais caché que je ne suis pas très fan de ta façon de créer tes sims généralement (c'est une question de goût je pense !), mais je trouve qu'il y a du progrès sur cette nouvelle version de Seymour ! Attention cependant, présenter un sims à la peau sombre, aux cheveux noir, sur un fond noir, et avec des ombres très prononcé, c'est pas ce qu'il y a de plus judicieux Cette forme de visage change de ce que tu fais habituellement en tout cas, et ça fait plaisir ! J'ai l'impression que tu as changé ton remplacement pour les yeux, le blanc de l’œil semble enfin blanc. J'ai toujours un peu de mal, mais c'est déjà mieux. et je pourrais t'en conseiller d'autres, des remplacement, si tu veux. Me tarde de voir la suite, j’essayerais de passer plus souvent ;D |
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Mad Animateur Date d'inscription : 05/05/2013 Age : 37 Localisation : Ici ou là... ou ailleurs
| Sujet: Re: Folles créations Ven 27 Juin 2014, 12:17 | |
| Merci pour vos commentaires ! Hello Naine, content de te voir par ici C'est vrai que j'ai essayé de me diversifier, notamment sur les derniers. Betty, il a déjà eu quelques retouches, mais là, je suis vraiment reparti de zéro (en gardant tout de même une petite ressemblance). Rope, en effet, il y a plus judicieux ! Le remplacement est le même, mais j'ai éclairci le blanc des yeux. Quoi qu'il en soit, je ne suis pas contre, si tu peux m'en proposer d'autres Janel sera la prochaine à passer sur le billard (il y a du boulot, je ne suis jamais totalement satisfait de ce que j'en fais). |
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Pyrénéa Maitre bâtisseur Date d'inscription : 07/09/2012 Age : 50 Localisation : Pas dans les Pyrénées
| Sujet: Re: Folles créations Ven 27 Juin 2014, 13:17 | |
| J'ai lu quelques-uns de tes textes. J'aime bien "le nouveau monde" 2. C'est le genre d'histoires où c'est la fin qui donne de la valeur au début, qui donne envie de revenir en arrière pour s'imprégner de tout ce qui se passe avant la fin, comme pour essayer de rattraper la vie et de vaincre la mort. J'sais pas si je suis très claire, là ... J'ai bien aimé "la suite" aussi ... un gardien de prison auquel il reste une parcelle d'humanité ! Comme c'est pas comme ça que je les imagine, d'ordinaire, ça a remué mes préjugés et ça fait du bien ! Quant au "rêve", j'ai une 'tite question : est-ce que c'est autobiographique ? Voilà ... Autrement, y a un truc que j'hésite à dire depuis tout à l'heure mais bon, allez j'me lance. D'un point de vue de lectrice, je dirais que tes idées sont bonnes, intéressantes. Tes histoires sont bien menées. Mais il manque comme un p'tit truc, je trouve. Je crois que c'est comme si t'écrivais avec ta tête seulement. Comment dire ? ... c'est difficile à expliquer. Les émotions qui jalonnent la vie de tes personnages sont décrites avec beaucoup de recul, comme des faits. C'est comme si le mental, l'intellect parlaient et comme si la part émotionnelle, elle, était contenue, contrôlée. Et, du coup, c'est difficile d'éprouver des choses pour les personnages. Je pense des trucs d'eux, de leur situation, tout ça, mais j'ai du mal à ressentir des choses pour eux. Est-ce que toi, quand tu as écrit ces histoires, tu ressentais quelque chose envers tes personnages ou est-ce que tu les pensais ? Cette question peut paraître bizarre ... ou même un peu indiscrète ... T'es pas obligé d'y répondre, bien sûr ... Bon, allez, j'arrête mes élucubrations. Je repasserai par ici quand j'aurai plus de temps pour finir ma lecture et me balader sur les autres pages. |
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Naine As de l'acrylique Date d'inscription : 14/01/2012 Age : 33 Localisation : Ici : x
| Sujet: Re: Folles créations Ven 27 Juin 2014, 13:47 | |
| Janel, il lui faut rallonger son nez ! Mais garde lui un visage allongé (peut-être un peu moins). Pourquoi tu n'ouvrirais pas un journal de bord (JDB) que nous te dictions le visage de la belle blonde ? (Hein quoi, comment ça, c'est ton sim et tu en fais ce que tu veux ?) Non plus sérieusement, un JDB serait une bonne idée si tu ne sais pas par où commencer (et si tu en as déjà un, je ne l'ai pas vu donc désolée ). |
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Mad Animateur Date d'inscription : 05/05/2013 Age : 37 Localisation : Ici ou là... ou ailleurs
| Sujet: Re: Folles créations Ven 27 Juin 2014, 14:21 | |
| Naine : j'ai bien prévu de lui garder un visage allongé ! J'en ai déjà un, de JdB (en pause) et je l'utiliserai si je n'arrive pas à ce que je veux, bien sûr pyrenea : merci de ton intérêt pour les textes ! Pour le rêve, non, ce n'est pas autobiographique ; en fait, c'était le point de départ d'une histoire que j'ai abandonnée, faute d'inspiration. Quant à ton impression, j'avoue que j'ai la même. Ça doit être mon esprit cartésien Ce sont des textes assez anciens (2-3 ans) et j'espère m'être amélioré depuis à ce niveau-là. |
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Mad Animateur Date d'inscription : 05/05/2013 Age : 37 Localisation : Ici ou là... ou ailleurs
| Sujet: Re: Folles créations Sam 28 Juin 2014, 17:37 | |
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| Sujet: Re: Folles créations | |
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